Exercice de Style

Exercice de Style

Ayant plus que jamais l'envie d'aimer, comme je le disais dans mon précédent article, je suis en mal d'amour, pourtant j'aimerais tant être le mâle d'amour d'une demoiselle...
Peut-être ne suis-je plus si loin d'elle, car je me prénomme Julien, et le J que je sache, n'est pas très loin d' L.
L même, en terme de longueur alphabétique, est toute proche du M.
Je récapitule donc l'équation:
J (ulien) se trouve à proximité d' L et L du M. Par conséquent, si L M J tout s'arrange!
Seul problème, alphabétiquement parlant, ils se tutoient, mais sont tout de même séparés par le K.
Et je l'admets, J est un K, mais il se soigne, et ça n'est pas une raison suffisante pour qu' L ne l' M point.
Résultat, J a la N, il râle, s'énerve (RRRRR!!!).
Il voudrait tant qu' L, quelle qu'elle soit, puisse être envisagée comme son B.B et qu' L ne le dévisage jamais comme s'il était devenu le prototype du "beauf" avec son marcel se faisant appeler D.D par ses potes.

Cette éventualité, il ne puit l'envisager, car il l'aimerait de tout son être, et pour elle se ferait robuste tel un chêne centenaire, mais il y aurait du bouleau avant d'y parvenir.
De temps à autre, il lui arriverait de verser de chaudes larmes tel le saule, mais ne resterait jamais longtemps au sol, dopé qu'il serait par l'Amour de sa belle. Il lui offrirait les vacances dont L rêve sur "la costa del sol", et durant ce périple, il s'enhardirait mettant un genou au sol, ou plutôt à terre, pour lui demander sa main.
Il se jetterait à l' O tant il aurait envie de nager dans un bonheur absolu.
Jamais il ne s'aventurerait en O troubles, car il serait fort fiable, et toujours au comportement droit comme un I.
Les médisants riraient de lui (AA!!AAAA!!), mais disant qu'il n'a que faire des railleries de ces manants, ces derniers se verraient dans l'obligation de trouver un emploi à la SNCF, car ils voudraient continuer leurs railleries, et ainsi ne point voir leur vie dérailler.
Et je l'avoue, en toute objectivité, mon cheminement psychique est une ligne directe, un TGV, pour l'asile.
Je vous invite donc, non pas à prendre le train en marche, mais plutôt, à sauter de celui-ci au plus vite, car mon esprit fend la bise et au chapitre des embrassades, j'en dépose une sur votre joue, afin que vous puissiez tout de même faire front, si ce texte vous insupporte.

TOP