Pourquoi je n'écris plus...

Pourquoi je n'écris plus...

Je vais tenter d'expliquer, autant à vous qu'à moi, la raison qui fait que je n'arrive plus à écrire, n'ai plus l'envie serait plus juste, car je ne pense pas avoir perdu quelque chose, hormis la motivation.
Je me pose les questions en même temps que j'écris, certes vous ne verrez aucune différence.
C'est tout de même important à préciser, en effet il se peut que je parte un peu dans tous les sens.
Première constatation, datant d'environ cinq secondes, j'aime toujours écrire sur d'autres choses que la NFL. Alors pourquoi un tel manque de motivation?
En fait, c'est lié, je pense, à ma vie affective, las d'espérer et surtout là en espérant, mais rien ne vient.
Je pense bien à des sujets dans mon lit, mais j'oublie tout quand je prends place devant mon ordi.
La vérité est qu'il n'y a qu'une chose qui me motive franchement au point que je n'en ai jamais assez, NFL!
Je peux passer ma journée entière sur un commentaire de match, et regarder tard le soir "NFL live", sans une once de ras-le-bol.
Comme m'a écrit Laure, "la passion est le moteur de l'existence, on en a jamais assez!" et ma réponse fut la suivante, "si la passion est le moteur de l'existence, la NFL est assurément mon carburant!".
La saison régulière reprend, d'ailleurs, aujourd'hui mercredi avec une rivalité féroce entre les Cowboys de Dallas qui se déplacent chez les Giants de New York, les derniers vainqueurs du Super Bowl.
En outre, plus j'écris en anglais, plus ça m'enchante!
Je pensais, avant, être fan de basket NBA, mais ça n'était rien comparé à ce que je ressens pour le football américain.
Je n'écris plus d'histoires en français, car je ne rêve plus, même s'il y a toujours une petite partie de moi qui ne puit s'empécher d'espérer.
Avant, tout était prétexte à m'inventer une romance, tout ce que je vivais, je le reécrivais avec une issue romantique, mais plus maintenant.
Comme si je savais très bien que ça ne sert plus à rien.
Je sais, dans l'absolu, je n'ai que 36 ans, et si on met de côté les années d'enfances, il me reste plus d'opportunités à vivre que je n'en ai déjà vécu... Et je ne serai pas malheureux parce que je ne suis pas aimé ou amoureux, ça c'est hors de question!
Par ailleurs, le fait d'être seul m'amène à des réflexions, même si ça fait le gars désespéré, à deux doigts de partir en vrille.
Que néni, brave gens, d'handicapé qui flanche il n'y aura point.
Je relis le titre pour ne pas trop m'éloigner du sujet, mais on dirait que c'est peine perdu, mon cerveau divague.
Peut-être à bientôt

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